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FFPJP 2014 – L’édito d’octobre du Président

7 octobre 2014

Edito du Président

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Octobre est par excellence le mois des couleurs chaudes pour les artistes et celui des bilans et perspectives pour les terriens normaux. Beaucoup a été fait, beaucoup reste à faire, le développement ne souffre d’aucun recul, par définition il doit avancer dans tous les domaines…

Nos sports n’ont jamais été aussi populaires auprès des non-initiés, auprès des publics impensables. Cette notoriété est le résultat d’un travail de longue haleine, de relations, de qualité, quinze ans, vingt ans sans doute. Le petit écran des années 1980 est devenu un grand, les heures se sont multipliées. Sans être athée, je peux dire que le bon Dieu ou je ne sais quelle divinité ne peut revendiquer la paternité d’un développement notoire.

Ces derniers étés notre car-podium s’est installé au cœur des villes pour aller à la rencontre, pour faire voir, pour faire toucher du doigt le produit.

Cela aussi est une image positive comme le démontre notre web TV que je souhaite exclusivement accessible par le biais de notre site, soyons nous !

2014 est une belle année, la baisse du chiffre des licenciés est arrêtée, les actions auprès du public jeune commencent à faire tâche d’huile.

Octobre est aussi l’époque entre figue et raisin. C’est un peu les couleurs des résultats internationaux.

Pourquoi ? Comment ? Les questions de progrès se posent, car j’aime la France qui gagne. J’avoue un brin de chauvinisme. Je préfère la victoire même s’il faut un « big bang » sur la voie lactée féminine. J’espère un grand cru pour les jeunes en novembre au pays des châteaux viticoles du bordelais.

Le travail efficace dans tous les domaines démontre que le seul ingrédient qui permet de le faire en toute quiétude s’appelle la liberté.
C’est la liberté que nous nous donnons qui nous relie aux autres, c’est-à-dire, cesser d’être gentil. La voix populaire péjorative le dit bien « il est gentil… ».

La liberté, c’est être soi en étant avec les autres et elle reste ma perspective.

Alain Cantarutti
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